Je donnerai mon âme a l'enfant que tu voulais
Je donnerai mes larmes au regard que tu avais
Je donnerai la flamme au souffle que tu portais
Je donnerai les larmes aux batailles qui nous perdaient
Je donnerai mon âme comme l'amie de ton âme
Comme un homme que son amour condamne
Et qui sait qu'il n'y a plus rien àcroire
Après l'espoir
Pense àmoi quand ses yeux te caressent
Pense àmoi quand ses gestes te blessent
Pense àmoi quand son ombre te laisse
Pense àmoi pour autant de ce temps qui me reste
Pense àmoi quand le rideau se baisse
Pense àmoi a force de faiblesse
Pense àmoi que mon corps se redresse
Pense àmoi, pense àmoi loin de toi pense àmoi
Je laisserai les heures faire le tour de tes poignets
Je laisserai plusieurs de mes nuits àton chevet
Je laisserai l'odeur de ta peau encore plus près
Je laisserai la peur avoir peur d'être trop près
Je laisserai mon cÃ…"ur
Au cÃ…"ur de ce que tu es et si j'en meurs
C'est que mourir le voulait
Et tant pis s'il n'y a plus rien àcroire
Après l'espoir
Pense àmoi quand ses yeux te caressent
Pense àmoi quand ses gestes te blessent
Pense àmoi quand son ombre te laisse
Pense àmoi pour autant de ce temps qui me reste
Pense àmoi quand le rideau se baisse
Pense àmoi a force de faiblesse
Pense àmoi que mon corps se redresse
Pense àmoi, pense àmoi, loin de toi pense àmoi
Pense àmoi quand le rideau se baisse
Pense àmoi a force de faiblesse
Pense àmoi que mon corps se redresse
Pense àmoi, pense àmoi, loin de toi, pense àmoi